par Seamous 1885 » 31 Oct 2002, 22:23
C'est plus un fardeau qu'un cadeau. En effet, on se retrouve devant un très gros dilemme. On dispose d'un bolide, qui roule à 500 Km/h (que l'on atteint jamais car les routes ne le permettent pas) mais on est limité à 100 km/mois (soit 12 minutes à cette vitesse). Après, il faut se garer et aller en vélo jusqu'à la fin du mois. Donc, malgré la vitesse qui semble impressionnante (coup publicitaire) la quantité de téléchargement est très compromise, puisque sitot une limite depassé, la connexion est bridé.
Ils font une pub en disant que l'on est maintenant à 3M/s, mais en pratique, plus de la moitié du mois, on a la vitesse d'un 64K (petit modem) pour le prix d'un abonnement ADSL. On ne compte plus le nombre de dépression survenu à cause de cette nouvelle. Je n'éxagère rien: c'est la révolution dans le pays. Tout le monde était habitué à surfer sans compter.
Pour en savoir plus: <A href="http://selfcare.skynet.be/index.html?or=app_pro_1_1_txt&l1=products&l2=subscription&l3=adsl&l4=volumepack#advantage">Explications de Skynet</A>
J'ajoute que Skynet (société homonyme de la société responsable de l'holocauste dans Terminator) est jumelé à Belgacom, équivalent de France Télécom. Les concurrents de Skynet doivent passer par les lignes Belgacom qui, curieusement, tombe en panne 2 fois par jours pour leurs concurrents. Ils sabotent donc leurs concurrents.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.